PortailAlliance Symphony [SYM]AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion


Les candidatures sont ouvertes, vous pouvez postuler ici.
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 Chroniques de Sufokia - Prologue

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Miosotis
Meneuse
Miosotis


Chroniques de Sufokia - Prologue Empty
MessageSujet: Chroniques de Sufokia - Prologue   Chroniques de Sufokia - Prologue Empty29/9/2017, 17:33

Prologue

Avez-vous déjà considérer l’existence des univers parallèles ? Des univers tels que le nôtre mais où vous seriez une personne dont l’intelligence serait plus élevée que la moyenne ou tout simplement un peu différente. La théorie des multivers nous dit que de tels univers existent probablement. L’histoire que je vais vous raconter n’est donc pas si invraisemblable et ça m’arrange...
Il existe parmi tous les univers possible, un univers né de l’amour de deux êtres, des êtres constitué d'énergie pures mais contraires, le Wakfu, l'énergie créatrice, et la Stasis, énergie du chaos. Dans cet univers : des galaxies, des planètes et des mondes sur lesquels habitent possiblement des êtres pas si différents de vous. Le monde des Douzes est un monde comme cela. C’est néanmoins le terrain de jeu privilégié d’un certain nombre de dieux principaux. Douzes pour être exacte, peut-être l’aviez vous deviné ! Chaque dieu possède une personnalité et une philosophie qui lui est propre. Certains prônent les faits d’armes, d’autres la sournoiserie, d’autres encore l’assistance envers son prochain. Dès lors, lorsqu’une âme née spontanément de la condensation du Wakfu souhaite s’incarner, elle doit choisir la voie qui lui paraît la plus proche de ses idéaux. Et ainsi commence la vie de toute personne en ce monde.

Au cours d’une vie, bien d’autres choix s’offrent à ces nouvelles âmes au cours de leur développement, cependant, le choix le plus important arrive à l’âge de treize ans à la fin de ce que l’on appelle l’Instruction Primaire dont le but est d’enseigner les bases de ce que tout un chacun doit savoir dans la vie : lire, écrire, s’exprimer, compter …
Lors de la Cérémonie de l’élévation ayant lieu chaque année au solstice d’été, tous les enfants de chaque ville sont amenés à choisir quel métier ils souhaitent exercer. Bien souvent ce choix est conditionné par la profession de leurs parents, ainsi, un fils de boulanger sera très probablement amené à pétrir le pain à son tour, un fils de sculpteur à tailler lui aussi le bois dans un but pragmatique ou artistique. 80% des enfants choisissent ainsi une vie sédentaire d’artisanat, les autres s’engagent dans la Milice de leur ville afin de protéger les citoyens.
En réalité, deux autres catégories existent que j’ai délibérément laissé à part. Les enfants de la noblesse et de la royauté, à qui on ne laisse pas le choix de tracer leur propre route et qui, bien souvent de part la richesse de leur famille, s’en accommodent très bien. La deuxième catégorie quant à elle, est quelque peu tabou car bien souvent embarrassante pour la famille lorsque leur enfant choisissait cette voie.
La voie des Aventuriers était regardée de travers, car elle arborait la connotation de vagabond, de fainéant qui ne souhaitait pas travailler mais préférait plutôt se promener au gré des vents. Paradoxalement, dès que les citoyens devaient régler un problème épineux, ils se tournaient bien volontier vers les guildes d’aventuriers, souvent bien plus efficaces que la milice. Ainsi un aventurier d’une guilde renommée était presque une star, tandis qu’un aventurier non affilié, ou dont la guilde n’avait pas une bonne réputation, était fuit comme la peste.

Une guilde, ce n’est rien d’autres qu’une congrégation d’aventuriers reconnue par l’administration des royaumes. C’est une sécurité pour quiconque en fait partie de voir ses droits défendus en cas de litige avec des citoyens, mais c’est également l’assurance de pouvoir loger à moindre frais, dès lors que la guilde possède des foyers affiliés un peu partout. Le terme “foyer” est ici bien à propos, la vie d’aventurier n’étant que succession de voyages, ils n’ont souvent pas les moyens de posséder leur propre maison, mais surtout, n’aurait pas l’occasion d’y passer régulièrement. Ainsi la guilde et ses foyers sont-ils à la fois une maison et une famille de substitution. A ce titre, chaque guilde se réserve le droit d’accepter ou non des nouvelles recrues en leur faisant passer un entretien. Enfin, la guilde n’a pas le statut de compagnie commerciale et à ce titre ne rémunère pas ses membres. Chaque jour un membre doit gagner son propre argent en réalisant des “Quêtes”, sortes de missions proposées par les citoyens et affichées sur un tableau dans le hall principal du foyer de la ville. Chaque mission présente une difficulté plus ou moins grande et pour cette raison l’autorisation du meneur, du bras droit ou de l’intendant est nécessaire afin de ne pas faire courir de risques inutiles aux membres, en particulier les moins expérimentés. Si la mission était réalisée avec succès, l’aventurier touchait une récompense et sa guilde prenait un pourcentage pour l’entretien des locaux.

Ainsi va le monde dans lequel vous vous apprêtez à vous plonger, sur ce, il ne me reste qu’à vous souhaiter une bonne lecture !
Revenir en haut Aller en bas
 
Chroniques de Sufokia - Prologue
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
Permissions de ce forum :Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers :   
 Sujets similaires
-
» Chroniques de Sufokia - Chapitre 1